A la rencontre de Nathalie Dyèvre, responsable marketing et stratégie produit.
Donner une nouvelle perspective à la mobilité.
Diplômée de l’ESSCA, Nathalie a acquis son expertise en marketing dans de grands groupes en France et au Canada, avant d’opérer une transition vers les entreprises sociales grâce notamment au programme On Purpose. Aujourd’hui, elle coordonne la conception et l’évolution du service en toute agilité chez ecov.
Travailler au quotidien pour l’entreprise de covoiturage Ecov, selon Nathalie.
Bonjour Nathalie, peux-tu nous expliquer quel est ton rôle chez ecov ?
Je suis en charge du marketing et du produit chez ecov. Je suis là avant tout pour m’occuper de tout ce qui touche à l’évolution du produit, mais du point de vue de l’utilisateur. Concrètement, cela revient à réfléchir à un service qui répond aux besoins de ses utilisateurs en termes de mobilité. Mais cela concerne aussi tous les aspects marketings relatifs au produit, de sorte qu’il soit mis en avant de manière optimale et qu’il réponde aux besoins que l’on connaît du terrain.
Selon toi, que faut-il pour réussir chez ecov ?
Pour réussir chez ecov, je dirais qu’il faut avant tout être vraiment motivé par le projet, car cela demande beaucoup d’énergie. Nous sommes sur un projet innovant qui implique des expérimentations, des essais, pour proposer in fine un produit de qualité. Il faut donc trouver sans cesse de nouvelles idées et les tester. Certaines fonctionnent, d’autres non. Et pour cela, la motivation est vraiment le premier levier. Mais nous sommes aussi une start-up, ce qui implique aussi une certaine polyvalence : savoir passer du plan stratégique à l’opérationnel sur le terrain par exemple.
Pour finir, pourrais-tu nous dire quelques mots sur ecov ?
ecov a une réelle utilité pour les usagers et un double impact : un impact social, mais aussi environnemental. Nous répondons aux besoins de personnes qui n’ont pas d’autres choix pour se déplacer et qui se retrouvent parfois éloignées de l’emploi par manque de mobilité. Et environnemental puisque le but d’ecov, c’est aussi de décongestionner les routes en optimisant le remplissage des véhicules. Aujourd’hui, nous sommes en moyenne à 1,3 personnes par voiture. On peut donc faire beaucoup mieux !